BLOG EN CONSTRUCTION - MISE A JOUR ET REVUE DE PRESSE EN PREVISION- Merci pour votre compréhension.

« Le marketing est une conception de la politique commerciale qui part du principe que la fonction fondamentale des entreprises consiste à créer une clientèle et à la conserver, et qui permet aux entreprises d'exploiter au maximum toutes les ressources dont elles disposent » (Lewitt)

vendredi 29 février 2008

PEDAGOGIE:Quatre bonnes raisons de faire un plan marketing

Quatre bonnes raisons de faire un plan marketing


Si votre business vous oblige à mener de front stratégie, objectifs et calendrier, cette antisèche vous deviendra vite indispensable. Quelles que soient la taille et l'activité de votre société.

Kello Bouin et Sébastien Tranchant | LEntreprise.com | Mis en ligne le 04/12/2006

Etablir un plan marketing et le formaliser par une belle présentation de 50 pages restent un exercice classique pour tout chef de produit dans un grand groupe. Cela l'est moins pour un entrepreneur. Surtout s'il n'a pas de responsable marketing dans son équipe. Pourtant, cette étape intermédiaire permet de concrétiser une stratégie par un plan d'action, avec des objectifs, sur un calendrier. Ce qui n'est pas du luxe ! Un plan marketing, si l'on y consacre un peu de temps, permet de confirmer des intuitions. C'est un bon exercice pour définir une vision claire de son activité ou de sa marque. Ce plan garantit les chances de succès de commercialisation, donc un accroissement du chiffre d'affaires et des parts de marché. Vous n'en êtes pas convaincu et pensez que les plans marketing sont faits pour les autres ?

Voici quatre raisons majeures qui vous persuaderont que le temps passé à formaliser votre stratégie ne sera pas du temps perdu.

mercredi 27 février 2008

Les tendances 2008 dans les programmes TV

La nouvelle étude NOTA - Les Tendances TV Internationales 2007-2008 - La TV 2.0 (11/12/2007)

Amandine CASSI, Responsable d’études à Médiamétrie, et Sheily LEMON, Consultante à IMCA (International Media Consultants Associés) viennent de présenter les Tendances TV Internationales pour la saison 2007/2008 détectées par NOTA, le service de veille des nouveaux programmes dans le monde.

Téléchargez l'étude ici

Bilan de l'année 2007 et perspectives 2008 pour le marketing

Marketing : les tendances pour 2008


Réalisé par Agnès le Gonidec, JDN Management 30/01/2008

Positionnement des marques, consommation, marketing relationnel, communication... Trois experts font le point sur les phénomènes qui les ont marqués en 2007 et les tendances auxquelles ils s'attendent pour 2008.


Jean-Noël Kapferer (HEC) : "On observe un phénomène de polarisation sur le marché"

Le choix actuel des marques se porte sur une stratégie soit low cost, soit orientée luxe. De leur côté, les MDD conservent une meilleure réactivité par rapport aux besoins des consommateurs

Nicolas Riou (Brain Value) : "Les marques perdent le contrôle sur leur image mais profitent du buzz"

Alors que les consommateurs prennent le pouvoir vis-à-vis des marques, celles-ci redoublent de créativité pour les séduire. La communication se détourne du produit pour mieux attirer l'attention.

Thomas Parouty (The CRM Company) : " 2008 sera plus relationnel que communautaire"

Bien que la communication 360° ait conquis tous les acteurs du marché, l'exploitation des bases de données est insuffisante. Le marketing peut encore aller plus loin en matière de personnalisation

mardi 26 février 2008

Contrainte budgétaire des ménages, segmentation des marchés et stratégies de la grande distribution

P. Moati - M. Ranvier

n° C235 - novembre 2007

Thème(s) :
Économie / Marchés > Commerce / Services
Consommation > Comportements de consommation
Économie / Marchés > Argent / Banque / Pouvoir d'achat

Résumé :

La tension sur le pouvoir d'achat est-elle responsable de la déprime des marchés de grande consommation ?

A partir des données de l'enquête Budget des Familles de l'INSEE, ce travail propose :

  • d'identifier les ménages susceptibles d'être confrontés à la plus forte contrainte budgétaire,
  • de mesurer le poids, et son évolution entre 2000 et 2006, de ces ménages sur le marché.

Le constat est le suivant : le poids de ce type de ménages dans la demande est relativement modeste et a peu évolué sur la période. Au final, il semble difficile de considérer que la dynamique du pouvoir d'achat au cours des dernières années ait pu suffire à installer le climat déflationniste qui a régné sur le marché des produits de grande consommation.

Quant aux autres facteurs qui ont favorisé le renforcement de la sensibilité des consommateurs aux prix, et en particulier le rôle joué par les stratégies d'offre, les distributeurs mais également les industriels apparaissent en partie responsables. A l'origine du dérapage des prix, ils ont en effet réagi à leurs difficultés par le retour à des politiques tarifaires et promotionnelles agressives.


dossier complet téléchargeable ici:www.credoc.fr/pdf/Rech/C235.pdf



Le retour en force des études qualitatives (Marketing Magazine)

Le quali au mieux de sa forme

Marketing Magazine N°119 - 01/02/2008 - Anika MlCHALOWSKA

La globalisation des marchés et les comportements toujours plus complexes des consommateurs rendent lies études qualitatives incontournables. Tandis que les expertises se renforcent, Internet joue un rôle croissant.

Selon l'enquête annuelle Esomar, les études qualitatives représentaient, en 2006, 14% du marché mondial des études, estime a 24,6 Md$. En France, la même année, la part du quali s'est élevée à 15% du marché des études, selon Syntec Etudes Marketing et Opinion. «Comme les études quantitatives ad hoc pèsent 52% du marché des études et les études en continu, barométriques et omnibus 33%, la part du qualitatif est plus élevée quand on regarde uniquement Vad hoc. Elle peut être estimée entre 20 et 25%», remarque Yves Krief, président du directoire de Sorgem. Et ce, d'autant plus qu'une grande partie du marché des études qualitatives échappe aux statistiques parce que réalisée par de petits instituts.

Face à un consommateur toujours plus difficile à cerner, infidèle, insaisissable, qu'il s'agit de comprendre dans toutes ses dimensions de consommateur, de shopper, de citoyen, de salarié, qui vit dans un monde de plus en plus global..., le qualitatif a le vent en poupe. «Les études qualitatives apportent une intelligence dont il est difficile de se passer», constate Michel Reynard, directeur du département Quali Stratégique de TNS Sofres. Sur les 100 premières sociétés d'études, selon le classement établi par Marketing Magazine pour l'année 2006, figurent 27 instituts à dominante qualitative, c'est-à-dire dont la part des études quali est égale ou supérieure à 60% de leur chiffre d'affaires. Sorgem 15e société d'études en 2006 - est ainsi le premier institut français d'études qualitatives avec un chiffre d'affaires 2006 de 13,1 millions d'euros, intégralement réalisé grâce au qualitatif. Mais sa place de leader est fortement concurrencée par les instituts TNS Sofres et Ipsos. Pour ces deux groupes, les études qualitatives représentent entre 10 et 15 % de leur chiffre d'affaires total. Ipsos France a par exemple, réalisé, en 2006, un chiffre d'affaires quali de 15,3 millions d'euros.

Ces dernières années, devant la complexification des marchés, les allers-retours entre le quali et le quanti se sont généralisés. «Les sociétés d'études sont amenées à travailler sur ces deux techniques en estompant les frontières, constate Marc Papanicola, directeur général de Research International. Et, ces séparations sont maintenues pour des questions d'organisation interne ou de logistique de production, et non des raisons de stratégie client.» Et Thomas Tougard, directeur général d'Ipsos Marketing, d'ajouter: «Le quali est de plus en plus utilisé pour approfondir le quanti.» La dernière enquête qualitative Syntec Marketing & Opinion/Adetem/UDA, «Entreprises et instituts d'études: comment bien travailler ensemble?», s'interroge d'ailleurs sur la pérennité de la distinction entre le qualitatif et le quantitatif.

Dernière Enquête TNS SOFRES: Le Palmares de cadeaux de Noel 2007



Le palmarès
des cadeaux de Noël 2007

Guillaume PETIT - TNS SOFRES

Le 12 décembre 2007 - Alors que les fêtes de fin d'année approchent à grands pas et que la ruée chez les commerçants a commencé, notre étude réalisée pour le Groupe Casino et L'Hémicycle permet de déterminer ce que petits et grands devraient bientôt trouver sous le sapin de Noël.

Si l'argent et les chocolats, les cadeaux sans doute les moins « casse-tête » à choisir, arrivent en tête de notre palmarès, les cadeaux des Français sont dans l'ensemble très diversifiés : jouets, produits électroniques et numériques, livres, vêtements… Tout le monde y trouve donc son compte, même si 7% des Français ne comptent pas offrir de cadeau cette année.

Les jouets toujours dans la hotte du Père Noël

Noël est bien sûr dans l'esprit de tous la fête des enfants et donc synonyme d'avalanche de jouets. Ainsi, 52% des Français offriront des jouets à Noël, tous produits confondus.

Le jeu vidéo est particulièrement prisé (18% de citations, à la 6e place), notamment dans les foyers employés/ouvriers (en 2e position avec 26% de citations) et dans les foyers ayant des enfants entre 5 et 14 ans (38% de citations). Suivent les jeux de construction / éducatifs / puzzles (16%), les jouets à base de personnages en plastique (16%), les poupées / peluches (15%), les jeux de société/de cartes (12%), la console de jeu (8%), et les voitures / circuits / trains (6%).

La folie de l'électronique et du numérique

Au total, 44% des Français vont offrir un cadeau « technologique » (CD / DVD, lecteur, console de jeu, ordinateur/téléviseur, téléphone mobile…). Si ce chiffre est conséquent, le poids des objets numériques « stars » fortement mis en avant pour Noël est cependant plus faible : seuls 5% comptent acheter un appareil photo numérique, 5% un ordinateur/téléviseur, 5% un téléphone mobile / ordinateur de poche/GPS… Si ces produits sont de prime abord séduisants, leur prix ne les met pour autant pas à la disposition de toutes les bourses. En attendant les soldes… ?

Les produits « culturels » comme les livres et les DVD
sont très en vogue dans les catégories sociales aisées

Les produits culturels ne sont pas en reste, avec au premier rang d'entre eux les livres et bandes dessinées (23% des Français en offriront à Noël, 3e cadeau de notre palmarès), suivis des CD et DVD (19% de citations), des jeux vidéos (18%), des lecteurs mp3, CD ou DVD (7%).

La « fracture sociale » semble assez forte dans ce domaine : si 43% des cadres souhaitent offrir un livre / une BD (de loin le premier type de cadeau offert dans cette catégorie de la population), 32% des professions intermédiaires, 22% des employés et seuls 11% des ouvriers feront de même.

L'argent reste le cadeau privilégié des plus âgés

Un tiers des Français pensent offrir de l'argent ou un chèque à Noël. Ce type de cadeau est surtout le fait des plus âgés : 43% des individus âgés de 50 à 64 ans et surtout 55% des plus de 65 ans vont offrir de l'argent. La peur de ne pas faire le bon choix de cadeau en raison d'un décalage avec les désirs des générations plus jeunes ou la peur d'affronter les foules envahissantes des boutiques peuvent expliquer ce choix. Le développement des chèques-cadeaux, qui aurait pu séduire cette population, semble en fait n'attirer encore que peu de monde : seuls 8% des Français comptent en offrir (8% des plus de 65 ans).

La mode et la beauté, un poste de dépenses de Noël pour 37% des Français

En 4e place de notre palmarès des cadeaux de Noël se trouvent les vêtements et la lingerie (22% de citations). Au total, 37% des Français offriront un cadeau lié à la mode ou à la beauté : un bijou/une montre (13%), un produit de beauté, de soin ou de toilette (11%) ou encore un article de maroquinerie (4%). Il s'agit principalement des jeunes de moins de 24 ans (49%) ou ceux ayant entre 25 et 34 ans (45%), les cadres (49%) ou les habitants de l'agglomération parisienne (47%).

Le chocolat, un cadeau transgénérationnel

Que seraient les fêtes de fin d'année sans les traditionnels chocolats ? Apparemment, les Français ne s'en lassent pas, puisqu'ils sont 30% à en offrir ; ce type de cadeau dépasse d'ailleurs les clivages sociaux ou d'âge, les plus âgés étant tout de même plus raisonnables en ce domaine, et les foyers ouvriers/employés à l'inverse particulièrement friands (35% de citations). Plus rares sont en revanche ceux qui comptent offrir des produits gastronomiques (6%) ou de l'alcool (5%).

Les cadeaux pour la maison et la décoration moins prisés

Les articles pour la maison font moins recette que les autres (18% de citations au total), qu'il s'agisse de vaisselle/d'un objet de décoration ou d'art (9%), d'un appareil électroménager (6%) ou de matériel de bricolage (3%).

Les sorties, un cadeau encore trop onéreux ?

Offrir une sortie au spectacle, une invitation au restaurant, un week end ou un voyage ne semble pas enthousiasmer encore les Français (7% de citations), en raison probablement du coût plus élevé, mais également de l'aspect moins « concret » du cadeau.

Bienvenue

Bonjour à toutes et tous,

Un nouveau blog est né, souhaitons lui une longue et heureuse vie.
Ce blog est en cours de constitution. Sa mise à jour va se faire de manière progressive durant le premier trimestre 2008. N'hésitez pas cependant à apporter votre petite contribution en termes de sujet de discussion, demande spécifique, retour d'expérience, problématiques à résoudre, conseils à demander...
Le but ultime de ce blog est à termes de CAPITALISER puis de MUTUALISER.

Bonne chance à toutes et tous dans l'élaboration de vos axes stratégiques.

Bien cordialement,